Retour à bord du bateau gris de la « Royale »
« L’indéfinissable est toujours le même parfum unique attaché au même odeur reconnue qui bouleverse le mataf et qui donnerait la nausée à n’importe quel bleu Il sécurise et enveloppe on le retrouve après les fugues, les escales mouvementées les coups de blues quand on tourne dans les rues étrangères
C’est une odeur qui saute sur les gueules de bois et retourne l’estomac comme un mal de terre, elle vous surprend les yeux encore clos au sortir des rêves et se mélange au pâté en conserve et à la mortadelle du casse-croûte. Pourquoi tu pleurs ? »
Bernard Giraudeau –Cher Amour